Petra Orion d'Aragon - 28 ans - "Les Assouvis" Le reste ce sont des Ombres ~ Le Reste, c'est un Secret
Je ne suis pas écrivain, encore moins diplomate. Je suis une sale petite garce qui ne saura jamais bien raconter sa propre histoire. Et puis toutes les histoires commence par " je suis née, j’ai vécue, vue, j’ai réalisé combien la vie était dure, je déteste les gens, les êtres en général, bouhouhou les méchants, le monde entier m’en veut ; je suis mal née de toute évidence, j’ai mal vécue, vue et j’ai réalisé trop tard, ma vie est foutue. "
Je suis donc née en 2032, j’ai vécue comme tout enfant vit (famille moins que plus aimante, père distant, mère éteinte), j’ai finalement vue que, oui, la vie était injuste (problème familiaux classiques) et j’ai réalisé un 18 janvier 2052 comme elle pouvait être encore plus dure.
-------------
18 janvier 2052, Parme, Italie.
Tout contre moi est appuyé mon cher et tendre père, ratatiné par des années dures où il s’est amplement laissé aller. Il me tient le bras avec une insistance prenante, et il regarde ses mains encore lisses comme s’il s’attendait à ce que, d’un coup, elles se fripent. Le temps lui a fait courber l’échine, alors je le dépasse d’une bonne tête grâce à mes talons, et je l’inspecte de tout mon mètre soixante-quinze. J’essaie de me persuader que je le déteste, mais c’est mon père, Pueblo d'Aragon. Je suis liée à lui par le sang, et je pense que toute sa vie il s’appuiera fermement à moi pour ne pas tomber. Je suis sa fille, même si je préfèrerais être une autre. Il a les cheveux châtains foncés, parsemée de quelques traits blancs. Un visage dur et une silhouette arquée, faiblarde. Quand une brise passe, elle semble le bousculer avec violence, le faisant se pencher un peu plus sur moi. Avant il était grand et beau, maintenant il est petit et moche. Son visage est creusé, plein de rides, rouge, il a des petits yeux verts… Une haleine empestant la Vodka pure. A 10h du matin déjà.
Et si on le mettait aussi dans ce trou ? Celui qui a été creusé tout spécialement pour ma mère ?
Le temps est gris, morne, moche, tout comme les gens qui sont présents. Il ne pleut pas encore mais chacun d’entre nous est armé d’un parapluie solidement plaqué contre les côtes. Enfin, tous, sauf moi. Je n’ai pas pensé à prendre le mien, je me suis même habillée comme si nous étions en été, avec une jupe cintrée noire et une veste dans la même teinte. J’ai froid, alors j’essaie de me concentrer sur autre chose, comme sur mon père, et l’envie fulgurante que j’ai de le pousser violemment dans la tombe. Je devrais. J’ai dû me disputer avec lui pour qu’il daigne venir. Il m’a insulté comme si je n’étais pas sa fille, il a essayé de me craché dessus puis, il s’est effondré pour pleurer tout ce qu’il pouvait. Il m’est alors apparu comme un pauvre ivrogne pathétique, faible et vieux, très vieux. Aussi vieux que le monde.
Il renifle bruyamment. Je ne sais pas ce qui le rend si triste. Peut-être de ne pas être parti le premier.
Et moi j’ai seulement honte pour lui, pour moi, et pour notre pauvre famille qui abrite des alcooliques depuis la nuit des temps, comme s’ils se marient tous ensemble. Le meeting des beurrés.
J’ai vécu entre un père amoureux de la Vodka et une mère qui, ayant raté sa vie, avait voué une passion sans borne au vin de mauvaise qualité. Ils ont fait tout deux plusieurs séjours à l’hôpital parce que, quand l’argent commençait à manquer, et que les bouteilles n’étaient que cadavres, ils se mettaient à se taper dessus ou sur moi, par défaut. J’ai toujours rêvé qu’ils se noient dans leur vomi d’alcoolique mais, comme ce ne fut pas le cas j’ai subi une marâtre qui m’envoyait dans la rue pour… Trouver de quoi payer sa binasse immonde et un père complètement perdu dans les méandres de son esprit.
Je n’ai de la famille qu’une image dégradante et de la moindre autorité une profonde incompréhension.
Je croise le regard vitreux de mon père. Ce père qui est aveuglé par l’alcool depuis des siècles me semble-t-il. Je ne l’ai jamais connu véritablement sobre. Tellement bien qu’aujourd’hui on enterre ma mère et que c’est l’homme que je soutiens qui l’a tué. Leur dernière engueulade a été fatale.
Mon père me donne envie de vomir. Cet homme dégueulasse et alcoolique sera toujours mon pauvre connard de père, et son nom, et ses actes, ma croix éternelle.
- Mes condoléances, dit une voix lointaine.
Mon père répond par un gargouillis médiocre. Sa bouche pâteuse ne peut rien articuler d’autre. Je sens remonter des effluves insupportables de Vodka. Je le lâche. Je fuis ce grouillement d’âmes compatissantes. Hypocrites.
______________
04 août 2054, Verone, Italie
- Qu'est-ce tu en penses ? - De...?, demandé-je en relevant le nez de mon sac où je cherchais frénétiquement mes clés. - Le vernissage, sur l’apocalypse Petra ! Il faudrait que ça soit fait un soir d'hiver, autour de décembre, là où les nuits sont les plus longues et les plus froides pour faire ressortir toute l'angoisse de mes oeuvres ! Un vernissage haut en couleur, si j'ose dire ! Et elle ponctue la fin de sa phrase par un rire fort, de gorge.
Ces derniers temps les vernissages ne me semble plus aussi excitant qu'avant. Pas parce que mon métier de galeriste ne me convient plus, mais parce que les oeuvres que nous exposons doivent toutes, TOUTES, déjà être vendues lors du vernissage et que le travail que ça demande me donne d'avance une migraine sévère.
Depuis la montée des eaux, les guerres intestines et ces mutations génétiques étranges l'art est un milieu qui a carrément explosé. Comme Pablo Picasso avec sa tragique Guernica, j'ai mis la main sur une artiste de la même trempe, bien que son style plus épuré et moins cubique touche un plus grand nombre de personne. Kristjana Halldórsdóttir, moire de son état, est ma poule aux oeufs d'or. Du moins... Pense-t-elle l'être. Ses oeuvres se vendent bien et je récupère un pourcentage correct, or après avoir payé mon appartement, mes factures et avoir épongé les dettes les plus urgentes de mon père, il ne me reste plus grand chose pour remplir mon frigo. Je me gave de boissons énergétiques pour tenir le coup et, de temps en temps, il m'arrive de faire la plonge dans le restaurant miteux de ma rue. Alors, prévoir son vernissage pour dans 4 mois, avec ses exigences, ça me semble juste impensable.
- Kristj', écoute, je..., commencé-je en me passant une main embêtée sur le front. - Non !, me coupe-t-elle soudain. Je ne veux pas de tes "mais" de tes "écoute", tout simplement parce que tu n'es pas ma mère Petra. Je ne te demande pas de penser je te demande d'agir. Alors, tu agis. Tu me prévois ce vernissage pour décembre, et moi je te fais passer les plans au plus vite. Je te paie et tu t’exécute. - Kristj', écoute, je..., recommencé-je beaucoup moins embêté et en appuyant sur chacune de mes syllabes, trouve que ce que tu me proposes c'est de la merde. Alors, oui, à une période la merde avait une certaine valeur et Piero Manzoni en a eut fait sa marque de fabrique... Mais aujourd'hui de la merde en boite ça reste de la merde en boite. Alors surfe sur une autre vague si tu veux que j'expose quoi que ce soit de toi. N'oublie pas que, oui, tu me paie et je m'exécute ; mais au commencement de cette putain de chaîne le pouvoir décisionnaire c'est moi qui l'ait. Je me détourne d'elle, dans un bruissement fin de tissu, mon chignon haut et strict laissant échapper l'une de ses mèches. - Tu n'es qu'une petite pute bourgeoise Petra, vocifère l'artiste entre ses dents serrées. Mais je n'y prête pas cas. Je m'en vais, sans me retourner.
_____________
De nos Jours
Ce n’est pas la réalité. C’est un rêve.
Chaque semaine encore je rends visite à mon père. Il ne me parle que rarement et je ne fais rien pour l’en dissuader. Un jour il m'a appelé par le prénom de ma mère en me demandant le divorce. Un frisson a courru violemment le long de mon échine. Le vide entre nous s'est alors encore plus intensifié. Pourtant je continue à m'occuper de cette croix éternelle. Je fais le minimum syndical : en gros, je l’assiste. Je m’applique à lui faire son ménage, sa lessive, son repassage, je lui ramène un stock de plats surgelés et de Vodka… Et le plus important, je viens vérifier s'il n'est pas mort.
Derrière moi, j'entends Pueblo qui siffle péniblement. Je n'ai pas besoin de me retourner pour comprendre qu'il est tombé sur mon nouveau sac à main hors de prix, que seul les gens qui n'ont pas connu la crise peuvent s'offrir. Il l'inspecte un instant, ouvre la fermeture latérale et... - 500 billets Petra ?! Dans ton porte monnaie... Merde alors... 'tain, si on m'avait dit que ça payait aussi bien d'être galeriste. Je l'ignore en enfournant un autre plat dans son réfrigérateur. Quelques minutes passent dans un silence de plomb et puis... - 'tain, si on m'avait dit que ça payait aussi bien d'être galeriste. C'est quand il le répète une troisième fois que je daigne regarder du coin de l'oeil sa silhouette faiblarde et pathétique. Il se tient voûté au dessus de mon sac, un verre de Vodka dans sa main droite quand l'autre est posée sur la table pour le stabiliser un minimum. Mais c'est peine perdue. Il tangue comme si nous étions au milieu d'un océan déchaîné. - Oui, répond-je simplement, vérifiant qu'il remet bien tous les billets à leur place.
Ce qu'il ne sait pas, c'est que la vérité n'est pas tout à fait là. L'incident avec Kristjana a été plus ou moins fatal pour ma carrière de galeriste. Mon patron m'a relayé aux tâches les plus ingrates et puis... Et puis il a estimé qu'il n'avait pas de compte à me rendre. Il y eut une faible vague protestataire et, finalement, je ne fus bonne à agir que dans l'ombre des grands, là où on ne me voyait plus. Mon salaire fut tranché en deux, probablement pour me décourager, et quelques menaces faites à mi-voix après, j'ai décidé de rester à ma place. Cependant j'ai du rendre mon appartement, je n'ai plus jamais refait la plonge dans le restaurant en bas de chez moi et j'ai compris que, malgré tout, les moires commençaient à avoir un monopole assez indigeste. Alors j'ai un peu erré à la recherche de solution, traînant ma valise avec tous mes tailleurs de bourgeoise, ceux là même qui me donnaient un genre à une époque ; avant de rencontrer un homme dans un bar. Tard dans la nuit, lorsque j'étais assez alcoolisée pour ne plus me formaliser de grand chose. Cet homme m'a longuement parlé de politique en se targuant d'être quelqu'un d'important et de riche. Ca a duré un moment. Je pense. Assez pour qu'il s’aperçoive que je lui plaisais et qu'il me propose de venir chez lui pour finir la soirée. J'ai dis non. Il m'a répondu qu'il me donnerait de l'argent. Je me suis dis que, quand même ça ne se faisait pas. Il m'a encouragé avec une somme généreuse. Je me suis rappelée que je n'avais jamais eu de dignité. J'ai cédé.
Sur le long terme, le manque de dignité est une source d'argent inestimable.
C'est la sonnerie de mon téléphone qui me sort subitement de mes pensées. Un numéro inconnu s'affiche, comme souvent. - Oui, soufflé-je d'une voix voluptueuse. - Monsieur Rivers à l'appareil.C'est... C'est Monsieur Kellerman qui m'a donné votre numéro je... C'était pour savoir si... Enfin... - Si je suis disponible ce soir ? - Oui. Oui... Disons que... Je suis dans les parages pour affaire et que je ne peux pas rester plus, vous comprenez ? - Si c'est Monsieur Kellerman qui me recommande, je veux bien décaler mon rendez-vous de ce soir pour vous, mens-je avec aplomb. Nous pouvons nous retrouver rue Volto S. Luca, il y a un restaurant à tomber. - Parfait ! Et nous raccrochons après quelques formules de politesses pompeuses. - Je dois y aller, annoncé-je à mon père dans la foulée.
~~
Ce que je ne sais pas encore... C'est que Monsieur Rivers n'a à aucun moment eu l'intention de me payer pour que j'entre dans son lit.
Dernière édition par Petra O. d'Aragon le Mer 22 Juil 2015, 21:27, édité 6 fois
Petra O. d'Aragon
Messages : 25
Sujet: Re: Petra O. d'Aragon Sam 18 Juil 2015, 03:50
Petra Orion d'Aragon Feat - Mila Kunis
Physique : Des cheveux bruns tombant jusqu’au dessous des omoplates, un visage ovale, une bouche pulpeuse, un petit nez harmonieux, des yeux marrons avec des éclats de jade, de légères cernes, un corps plantureux, une poitrine généreuse, des hanches droites, une chute de rein divine, de longues jambes ; tout ça sur une femme d’un mètre soixante-trois et de cinquante-deux kilos.
Dans l’ensemble, elle à la carrure et l’arrogance d’une amazone. Son port de tête impérial, sa démarche gracile et féline, son regard marmoréen, indique une assurance à toute épreuve. Sa peau est halée par ses origines serbo-italiennes, douce, et marquée çà et là par quelques cicatrices.
Lorsqu’elle rentre dans une pièce - ses cheveux virevoltants, son visage neutre et séduisant, sa bouche pincée lui donnant un air sévère, son petit nez aux aguets, ses yeux plisser pour étudier l’assistance - on ne peut que la remarquer. Son charisme et son charme sont indéniables, et elle le sait.
Petra a un goût certain pour s'habiller. Elle aime la mode et noie sous tout ce fric claqué ses origines plus que modestes.
Caractère : De sa famille, elle a le côté violent et taciturne, capricieux et colérique. Et malheureusement, la vie n’ayant pas joué en sa faveur, Petra est une peste caractérielle qui n’a de cesse de remettre les gens à leur place par des remarques cinglantes... Sachez aussi qu'elle vise bien, le "jet d'objet contondant" est devenu l'une de ses disciplines favorite.
Elle est d’un naturel franc, elle ne prend pas des pincettes pour dire ce qu’elle pense. Cependant elle a un esprit plutôt désorganisé et les informations peuvent ne pas être filtrées et structurées avant le débit (elle s’exprime donc souvent maladroitement mais a appris à vivre avec, ça ne lui a pas ramené que des amis or elle ne semble pas s’en plaindre). Elle ne mâche donc pas ses mots, elle parle souvent avec agressivité et arrogance. Elle peut facilement être qualifié de cynique, d’acerbe, de détestablement pessimiste, de moralisatrice laxiste, de barge quand elle veut à tout prix prouver un truc, de joueuse, de chiante, d’autoritaire, de suicidaire, de blasée de la vie, de masculine, d’anti-sentimentaliste, d’émotionnellement coincée…
Elle est donc sauvage, lunatique et froide, insaisissable. Elle ne désire pas plus d’amis que de compagnon, parce qu’elle est persuadée qu’elle n’en a pas besoin. Trop fière pour avouer un quelconque attachement, elle fera en sorte de couper les ponts avec une personne avant qu’un lien trop fort ne se crée.
Pour se sentir vivante elle n’a pas besoin de se voir dans les yeux d’un autre… Ni même de se sentir appréciée. Elle a juste besoin de flirter avec la mort, de faire des choses stupides et de se sentir dos au mur. Elle est persuadée de ne plus avoir grand-chose à perdre.
De ces nombreuses imperfections ressortent quelques qualités : bien que psychologiquement instable, Petra est fidèle, même si ça ne peut réellement se prouver dans ses relations amoureuses, il faut savoir que ses promesses sont du béton armé - ce qui fait qu'elle ne promet jamais rien, ou presque. Elle est perfectionniste, volontaire, déterminée, légèrement maniaque et elle n'a surtout pas peur de se mouiller pour ce qu'elle pense juste.
Elle aime le silence, la lecture (plus particulièrement lire des thrillers et des biographies d’hommes et de femmes célèbres), la mal bouffe (la cuisine n’étant pas son truc, et mangeant très peu, un gros hamburger peut la caler pendant un jour et demi, elle se gave ensuite de boisson énergisante), prendre des douches froides en été et brûlantes en hiver, le café noir, barrer quelque chose de fait sur une liste, avoir raison et dire "Je te l'avais dit!", l'odeur de l'essence, les glaces au chocolat...
Elle n'aime pas le crissement de la craie sur un tableau, quand ses collants se filent, perdre, qu'on lui parle avant qu'elle ait bu son café le matin, le miel, les glaces à la fraise, perdre ses clés, chercher un truc qu'elle a pourtant à la main, qu'on lise par dessus son épaule...
Autre : Petra :
est reconnaissable par son aspect chétif ;
n'aime pas le noir complet, elle aime dormir avec la télé allumée mise en sourdine ;
parle plusieurs langue dont l'italien, le serbe, l'anglais, le français, le russe et l'allemand.
supporte mal la foule ;
est ambidextre ;
sait jouer du piano ;
chante bien ;
fume ;
a une sacrée descente d'alcool ;
a quelques cicatrices sur le corps, souvenirs de ses parents.
Dernière édition par Petra O. d'Aragon le Mer 22 Juil 2015, 14:45, édité 2 fois
Elsie Bird Moineau en Cage
Messages : 33
Localisation : sur l'île.
Humeur : (◑ω◐).
Sujet: Re: Petra O. d'Aragon Lun 20 Juil 2015, 08:50
Rebienvenue, bonne chance pour ta fiche !! *^*
Petra O. d'Aragon
Messages : 25
Sujet: Re: Petra O. d'Aragon Lun 20 Juil 2015, 13:48
Merci Elsie !!
Me manque plus que l'histoire *_*
Petra O. d'Aragon
Messages : 25
Sujet: Re: Petra O. d'Aragon Mar 21 Juil 2015, 23:04
Petit DP parce que... Je pense avoir fini ma fiche !
Kyoran Gweria Killer Babe
Messages : 3781
Humeur : Massacrante
Sujet: Re: Petra O. d'Aragon Mer 22 Juil 2015, 09:41
Tout d'abord, woah, très belle fiche, vraiment agréable à lire ! J'ai beaucoup aimé découvrir ton personnage, qui semble très "vrai", donc bravo.
Pour moi, il y a cependant un point qui coince : tu places toute l'histoire de ton personnage en Italie. Hors depuis la montée des eaux, si on reprend la carte ici, l'Italie a sombré. C'est donc un soucis de cohérence.
Et pour etre sûre d'avoir bien compris la chute de ta bio, Petra se fait "kidnapper" pour devenir esclave sur Muddle, c'est ça ?
Du coup perso je ne vois pas d'autres modifications à faire, étant donné que ton personnage n'a pas encore vécu sur Muddle, tu peux difficilement parler de la situation la-bas. Je laisse Iris te faire d'autres retours si besoin, mais pour moi, à part l'Italie, c'est tout bon.
Petra O. d'Aragon
Messages : 25
Sujet: Re: Petra O. d'Aragon Mer 22 Juil 2015, 11:28
Merci pour tous ces compliments sur ma fiche *_*
Puis désolée ! J'avoue avoir eu un peu de mal avec la carte pour m'y retrouver comme, forcément, elle est rognée de partout =) Ca a paumé mon sens de l'orientation - déjà qu'il est pas fameux :lol: . Je pensais que si je restais dans l'Italie du Nord il y avait une chance pour que ça soit resté sur la nouvelle carte x)
Est-ce que si je place mon intrigue au nord de la Serbie ça passe ? Ou je la mets carrément en Russie, comme ça je suis sûre qu'il n'y aura pas de problème de cohérence
Et effectivement Petra se fait kidnapper pour devenir esclave sur Muddle. Elle aura tôt fait de se mettre à la page de la situation qui y règne ;)
Kyoran Gweria Killer Babe
Messages : 3781
Humeur : Massacrante
Sujet: Re: Petra O. d'Aragon Mer 22 Juil 2015, 12:42
Oui c'est pas simple de se repérer, on a prévu de refaire cette carte pour que ça soit plus facile pour tout le monde ;)
Pour la Russie c'est sûr que tu serais tranquille! Nord Serbie je pense que ça va aussi. Mais maintenant j'ai un doute pour le nord de l'Italie u_u (je suis entrain de m'écorcher les yeux sur cette maudite carte )
Du coup si ça ne te dérange pas de patienter un peu, je vais en discuter et valider ça, histoire de pas te faire changer pour rien. Vu que tout le reste me semble bon, je pense que tu peux toujours en attendant poster dans les différents sujets de recensement, en tant qu'esclave Ici, mais également demander un rangLà.
Et tu peux évidemment venir flooder et voter avec nous, en attendant ta validation définitive :)
Petra O. d'Aragon
Messages : 25
Sujet: Re: Petra O. d'Aragon Mer 22 Juil 2015, 16:22
Ok ça marche alors ! J'attends votre retour pour me lancer dans le Rp et en attendant je vais me recenser et voter :P
Lcf Sat Sociopathe
Messages : 1440
Localisation : En cage
Sujet: Re: Petra O. d'Aragon Mer 22 Juil 2015, 21:46
Bienvenue à toi. Bon style et belle bio, à bientôt sur le forum !
Pandora Daumier Moire Résistante
Messages : 2473
Localisation : Dans la forêt
Humeur : Quand nous sommes-nous perdus ?
Sujet: Re: Petra O. d'Aragon Mer 22 Juil 2015, 21:50
Bienvenue ! Je plains son maître^^
Un style brut, j'aime ça, super choix de personnalité en passant, ça colle tellement bien.
Petra O. d'Aragon
Messages : 25
Sujet: Re: Petra O. d'Aragon Mer 22 Juil 2015, 23:05
Merci à vous deux pour l'accueil, les compliments, toussa quwah
Kyoran Gweria Killer Babe
Messages : 3781
Humeur : Massacrante
Sujet: Re: Petra O. d'Aragon Mer 22 Juil 2015, 23:18
Bonne nouvelle Petra, tu peux rester Italienne ! Tant que tu restes bien au nord dans ta bio, c'est bon :)
Merci de ta patience donc, et officiellement, je te souhaite un bon retour, j'espère que tu te plairas dans tes chaines d'esclave :p
Bon jeu !
Petra O. d'Aragon
Messages : 25
Sujet: Re: Petra O. d'Aragon Mer 22 Juil 2015, 23:34
Yeah ! Merci aux géographes !
Iris Sword Public Enemy
Messages : 6210
Localisation : La Forêt est mon amie
Humeur : Sanglante
Sujet: Re: Petra O. d'Aragon Mer 22 Juil 2015, 23:43
Très belle fiche! J'adore la personnalité de Petra....à tout hasard, la résistance ne la brancherait pas?
Non parce que bon on a pas l'eau courante mais on a des cookies, c'est bien les cookies aussi!
Petra O. d'Aragon
Messages : 25
Sujet: Re: Petra O. d'Aragon Mer 22 Juil 2015, 23:47
On essaie déjà de me débaucher du rôle de parfaite esclave ?!
J'pense quen quand elle sera bien imprégnée de Muddle, effectivement, Petra se sentira beaucoup plus proche de la résistance ! VIVA LA REVALUCION ! :lol:
Mais SURTOUT parce qu'il y a des cookies !
Kyoran Gweria Killer Babe
Messages : 3781
Humeur : Massacrante
Sujet: Re: Petra O. d'Aragon Mer 22 Juil 2015, 23:49
Iris, qu'est-ce qu'on a dit ? Arrête de faire ta propagande à la sortie des fiches voyons, laisse nous quelques esclaves, sinon les résistants auront plus de raison de se battre :p
Iris Sword Public Enemy
Messages : 6210
Localisation : La Forêt est mon amie
Humeur : Sanglante
Sujet: Re: Petra O. d'Aragon Mer 22 Juil 2015, 23:56
.....les Résistants auront toujours une raison de se battre voyons! TOUJOURS! De toute manière je ne m'arrêterai pas tant que je ne serais pas sur le trône! Petra je prend ça comme un contrat sur l'avenir, ton âme m'appartient à présent!
Et pis bon, pour l'instant on est un peu en sous nombre du côté des résistants alors j'ai tout intérêt à faire plein de cookies......tu sais Kyo, on a aussi des sushis.....
Kyoran Gweria Killer Babe
Messages : 3781
Humeur : Massacrante
Sujet: Re: Petra O. d'Aragon Jeu 23 Juil 2015, 00:09
Je suis incorruptible :p
(Et puis, je doute de la fraîcheur de ton poisson :p )
Pandora Daumier Moire Résistante
Messages : 2473
Localisation : Dans la forêt
Humeur : Quand nous sommes-nous perdus ?
Sujet: Re: Petra O. d'Aragon Jeu 23 Juil 2015, 00:28
Tu savais pas ? Iris s'est reconvertie en pêcheuse à la Résistance. Elle le vend sur les étales au marché.
Spoiler:
"Oysters and cockles"
C'est une question de temps, Petra va détester les Pro Moires un peu plus et viendra élargir nos rangs ! Mais on va la laisser écrire son histoire.
Kyoran Gweria Killer Babe
Messages : 3781
Humeur : Massacrante
Sujet: Re: Petra O. d'Aragon Jeu 23 Juil 2015, 08:51
J'espère qu'elle a pas cette coiffure en tout cas :x
Arrêtez, vous allez lui porter la poisse si ça continue ! Elle va peut-être tomber sur une gentille maitresse qui malmène pas ses esclaves comme moi :p
Et puis de toute façon, tout le monde deteste les pro-moires. Même eux ils se detestent entre eux.
Angel Hawkins
Messages : 5475
Localisation : Près d'une bouteille
Humeur : Alcoolisée
Sujet: Re: Petra O. d'Aragon Jeu 23 Juil 2015, 14:22
Très jolie fiche ! Bienvenue Petra ;)
Lyn'x
Messages : 943
Localisation : partout
Humeur : Ronronnante
Sujet: Re: Petra O. d'Aragon Jeu 23 Juil 2015, 21:11
(re)Bienvenue Petra!
Très belle fiche, très réaliste et adaptée au minois de Kunis à la perfection ^^